Musicien polyvalent, Rémi Jousselme est engagé dans un vaste champ de projets artistiques. Au cours de sa carrière, il a partagé la scène avec un grand nombre d’autres instrumentistes ou formations, ainsi qu’avec des chanteurs populaires ou classiques, des danseurs et comédiens.
Né à Marseille en 1977, Rémi Jousselme a remporté les premier prix de plusieurs concours internationaux en France et à l’étranger dont le prestigieux Printemps de la Guitare en Belgique qui récompensait pour la première et unique fois un guitariste français. Il enregistrait à cette occasion un disque allant du répertoire romantique à la création contemporaine.
Son deuxième opus, ‘Brasiliana’ a paru en 2005 chez Altaïs Music, un DVD live à Séoul a été édité en 2009, et son dernier album ‘Exils’ consacré aux compositeurs Toru Takemitsu et Atanas Ourkouzounov est sorti en octobre 2016 sur le label espagnol Contrastes Records.
Très actif dans le domaine de la musique d’aujourd’hui, il a joué avec des musiciens et ensembles incontournables de la scène actuelle (Musicatreize, Ensemble intercontemporain, Gautier Capuçon, Bela Quartet…) et s’est produit dans les festivals internationaux de guitare de Paris, Moscou, à la Folle Journée de Tokyo, au festival d’Avignon ‘In’, au festival d’Art Lyrique d’Aix-en-Provence, Musica de Strasbourg, les 38e Rugissants, à l’Abbaye de Royaumont, au Novel Hall de Taipei… et a travaillé avec les compositeurs Philippe Leroux, Zad Moultaka, Bruno Mantovani, Alvaro Martinez, Félix Ibarrondo, Jean-Pierre Drouet…
Il est membre de l’Ensemble Musica Nigella ainsi que du Collectif Quest, ensemble à géométrie variable qui s’attache à défendre créations et répertoires audacieux.
Désirant contribuer à promouvoir l’activité guitaristique à Paris, il est co-directeur artistique du Festival International de Guitare Sul Tasto.
Rémi Jousselme enseigne en tant que professeur titulaire au Conservatoire à Rayonnement Régional de Tours.
Il joue en tant que soliste ou chambriste en Europe, Russie, Asie, une guitare Vicente Carrillo, et des cordes Savarez.
Photo : © Lucie Sassiat